CÉLÉBRATION DE L’AID-EL-FITR À SAVÈ : L’honorable Djiman Kolawolé OGBON prie pour la paix et l’unité nationale
. Il envoie un message fort au Chef de l’État
La célébration de la rupture du jeûne musulman de cette année 2024 a lieu ce mercredi 10 Avril. La communauté musulmane du monde entier a célébré cette fête.
Les musulmans du Bénin ont sacrifié aussi à cette tradition annuelle. La commune de Savè n’est pas restée en marge de ladite célébration.
Les musulmans ont inondé la place Idi de Savè pour la prière de l’Aid-El-Fitr. L’honorable Djiman Kolawolé OGBON, député à l’Assemblée Nationale issu du Parti Les Démocrates, de la 10è circonscription électorale a assisté à cette prière dite à la place Idi de Savè.
L’iman central de Savè a remercié Allah pour ses bienfaits dans la vie de chacun tout en exhortant tous les musulmans à obéir aux recommandations d’Allah afin de bénéficier de ses grâces abondantes.
Pour l’honorable Djiman Kolawolé OGBON, musulman fervent, il n’a pas manqué d’adresser ses messages de paix à la nation. » En ce jour de la célébration de la fête de Ramadan qui marque la fin du jeûne musulman, je prie pour qu’Allah assiste le Bénin et le délivre des affres qu’il subit. Je souhaite la paix, le bonheur et la cohésion sociale pour le Bénin » a prié l’honorable Djiman Kolawolé OGBON.
Pour finir, il a lancé un appel percutant au Chef de l’État. » J’invite le Chef de l’État à écouter le peuple qui est le seul détenteur de la souveraineté. Nous avons prié pour la paix, l’unité nationale, la cohésion sociale. C’est fondamental, mais il faut des préalables pour que ces vœux se concrétisent. Il est nécessaire que chacun soit artisan de la paix. Pour une élection paisible, transparente et équitable, il faut un code électoral paisible, équitable qui respecte l’esprit de la constitution. Aucun dirigeant ne peut bien régner dans l’exclusion et les grands hommes de la nation sont ceux qui ont écouté leur peuple. Le Bénin mérite mieux que ce qu’il vit » a t’il ajouté.
Il a par ailleurs exhorté le peuple béninois à la patience, à la prière et à la culture de la paix et de l’unité nationale.
La vérité qui manquait
