Trafic d’organes humains au Bénin: Nécessité pour l’État de mener une traque infernale contre les auteurs

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Depuis quelques décennies, la fulgurance du trafic d’organes humains au Bénin fait inquiéter. La profanation des tombe est devenue monnaie courante. Les profanateurs commettent sans scrupule leur forfait. Quel sacrilège !

Le Bénin serait-il devenu la plaque tournante du trafic d’organes humains ? Le Nigéria reconnu dans cette pratique illicite et puante a t’il passé la main au Bénin? En 2019, des agents de la morgue dans un hôpital de Cotonou ont éventré un cadavre et prélevé d’organes humains sur la dépouille. En 2021, trois individus en quête d’organes humains ont enlevé un enfant de 7ans à Kérou que ces truands trafiquants d’organes humains ont assassiné et enlevé les organes sensibles. Un acte odieux commis par des personnes soif de la richesse dont deux ont subi la vindicte populaire. Le troisième a pris la poudre d’escampette. Il faut aussi mentionner la décapitation d’un albinos dont la bosse lui a été retirée. Ces actes inhumains doivent être âprement sanctionnés.

En 2022, à Matéri, un fermier a été identifié comme vendeur d’organes humains et de toutes parts humaines pour ne citer que ces deux exemples récents. Chaque jour, le trafic d’organes humains se fait. Il existe même des marchés secrets où des organes ou ossements humains se vendent. Le commerce des organes humains va à l’encontre du respect de la dignité et de l’intégrité de l’homme. Ça viole les droits humains. Le trafic d’organes humains et les transplantations illégales sont scrupuleusement interdits par la loi.

Devant ce trafic d’organes humain , il est nécessaire que l’État intensifie la traque pour dénicher le réseau de trafic d’organes humains et que les auteurs soient sévèrement punis devant la loi. L’homme de son vivant ou après sa mort reste et demeure sacré.

Chester VIHOUEDELI

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