SUITE À l’ATTENTAT QUI A FRAPPÉ MOSCOU : Vladimir Poutine veut appliquer la loi du talion
Pour un carnage, il faut le carnage aussi. C’est le moins qu’on puisse retenir des déclarations du président russe, Vladimir Poutine qui a promptement réagi à l’attentat du vendredi 22 mars 2024 qui a frappé Moscou la capitale de la Russie. » Nous avons introduit des mesures antiterroristes à Moscou et dans toute la région de Moscou. Il s’agit d’une attaque contre la Russie et nous trouverons et détruirons tous ceux qui sont responsables de cette attaque » a t’il déclaré.
Plusieurs assaillants ont été déjà arrêtés et les services de renseignement russe disposent de plusieurs preuves relatives à l’attentat. Selon le service de presse de Kremlin, le chef du FSB informe que 11 personnes dont quatres terroristes impliqués dans l’attentat ont été arrêtés. Certains étaient sur le point de rejoindre l’Ukraine.
Le bilan fait état de 115 morts et plus d’une centaine de blessés.
Déjà ce dimanche matin de 24 mars, la Russie a lancé plusieurs missiles de croisière sur la capitale Kiev et d’autres régions de l’Ukraine.
Sur le réseau social X (ex Twitter) le commandement de l’armée polonaise a indiqué que « l’espace aérien polonais a été violé par l’un des missiles de croisière lancé cette nuit par l’aviation de la fédération de Russie » plus loin, il précise que « l’objet a volé dans l’espace aérien politique à la hauteur du village d’Osedov et y est resté pendant 39 secondes » avant de souligner que le missile a été surveillé par les radars durant tout son vol sur son territoire. Le ministre de la défense polonais a indiqué que tous les systèmes de sécurité aérien ont été activés après cette violation de son espace et que l’armée surveille toutes les trajectoires des missiles russes.
Selon les informations communiquées à la presse par l’armée polonaise, le missile volait à une vitesse de 800 km/heure à hauteur de 400 m avant d’entrer sur son territoire à 2 km/heure de profondeur après avoir précisé que ce missile aurait été détruit et qu’il avait pour cible une région polonaise.
La vérité qui manquait